L’AÏKIRYU
Pratiquer à Grenoble
La pratique se déroule dans un dojo, pieds nus sur un tatami et en tenue traditionnelle ou « dogi ». Le cadre harmonieux du dojo nous transmet une part de « l’étiquette » de la pratique.
La première pratique enseignée dans le club AAPA est
* L’Aïkiryu : Une forme d’aïkido centrée sur la transformation. C’est une pratique dynamique avec un ou plusieurs partenaires dans laquelle l’on travaille différentes techniques de neutralisation ou d’immobilisation sans jamais appliquer une opposition ou un affrontement. L’aïkiryu est un art de transformation de soi-même et de la relation avec les autres.
L’Aïkiryu-Taïso
* L’Aïkiryu-Taïso :
Pratique corporelle et énergétique interne, qui permet de retrouver son centre et prendre conscience du mouvement intérieur. Les différents exercices proposent de revisiter le corps, d’éprouver les sensations qu’il nous donne et de prendre conscience du mouvement interne.
Assouplissement et dynamisation, travail postural en immobilité et en mouvement, méditation comme ressourcement essentiel.
Ce travail interne conduit à se transformer et s’apaiser.
Un temps s’ouvre pour soi, chacun entre dans la pratique, guidé par l’enseignant.
L’Aïkiken
L’Aïkido et les armes
* L’Aïkiken : pratique du « Bokken » ou sabre en bois. Elle permet un travail avec un ou plusieurs partenaires avec une autre distance que celle pratiquée dans l’Aïkiryu, une exigence prononcée sur les notions de placement et de temps justes.
Dans la philosophie de notre école d’aïkido, l’aikiken est indissociable de la pratique à mains nues, et les débutants doivent pouvoir pratiquer dès la première année pour mieux apréhender la notion d’espace et de temps.
L’Aïkijo
L’Aïkido et les armes
* L’Aïkijo : pratique du « Jo » ou bâton en bois, approchante de la pratique du Bokken avec encore une autre distance explorée par rapport au(x) partenaire(s), avec un espace de liberté et de création encore plus étendu.
De même que pour l’aikiken, il est essentiel que les débutants en aikido puissent pratiquer l’aikijo très vite, en pensant l’arme comme le prolongement des mains.
